« Le monde évolue vraiment de plus en plus vite. Nous le savons tous. Nous le constatons chaque jour. Et je crois sincèrement que l’éducation est la solution. Nous avons donc décidé de nous concentrer sur cet aspect en 2025, car cela nous a permis de mettre en place des actions concrètes. »
Pourquoi avez-vous lancé l’initiative Positive Impact chez Digital Virgo ?
Ce projet est très important pour moi. Je l’ai lancé parce que je suis convaincu que notre rôle va bien au-delà des affaires. La valeur numérique ne se résume pas à gagner plus d’argent, à générer de la croissance ou à développer un projet… Bien sûr, c’est très important, mais ce n’est pas tout. Elle concerne également notre façon de travailler et les valeurs que nous défendons en tant que groupe.
Digital Virgo évolue dans un environnement très diversifié. Nous sommes confrontés à des défis environnementaux, mais aussi sociaux et locaux. Et dans le cadre de ce programme, nous avons la responsabilité et l’opportunité d’avoir un impact, d’agir. Non seulement de parler, mais aussi d’agir sur le terrain dans chaque pays où nous sommes présents. Et il s’agit bien sûr d’un engagement à long terme.
Pourquoi l’éducation est-elle le thème central pour 2025 ?
Pour moi, l’éducation est universelle et revêt une importance capitale. Elle concerne tout le monde ici en France, mais aussi en Pologne, en Afrique (Côte d’Ivoire, Nigeria, Afrique du Sud…) et en Argentine. Vraiment tout le monde, car l’éducation est également l’un des leviers les plus puissants pour construire une société plus juste. Elle favorise l’autonomie, l’innovation et un environnement durable.
« Nous avons la responsabilité et l’opportunité d’avoir un impact, d’agir. Non seulement de parler, mais aussi d’agir sur le terrain dans chaque pays où nous sommes présents. »
À quoi ressemblent concrètement les actions Positive Impact ?
Le véritable mot clé est : autonomisation. Tout est question de méthodologie. Chaque équipe locale doit identifier les actions les plus pertinentes à mener sur le terrain. Il ne s’agit pas seulement de donner de l’argent. Cela peut aller du soutien aux écoles locales à la donation de matériel pédagogique, en passant par l’organisation de mentorats. Cela peut concerner des enfants de cinq, six, onze et vingt ans. Il ne s’agit pas nécessairement d’actions très médiatisées, mais la clé réside vraiment dans l’engagement de nos équipes sur le terrain. Je tiens vraiment à souligner que c’est ce qui leur donne tout leur sens.
Comment le programme Positive Impact s’aligne-t-il sur la stratégie globale du groupe ?
Comme je l’ai déjà mentionné, et c’est très important, il ne s’agit pas d’un programme que nous menons en parallèle. Cela fait véritablement partie de notre identité. Cela fait partie de notre ADN et de notre stratégie. Nous agissons de manière « Glocale », c’est-à-dire que nous agissons localement, mais toujours avec une vision globale.
Enfin, nous ne considérons pas la performance économique comme l’opposé de la responsabilité sociale. Nous sommes convaincus qu’elles peuvent aller de pair, même si nous restons pragmatiques dans notre approche. Mais nous croyons sincèrement qu’il existe un moyen de concilier ces deux éléments clés que sont la performance économique et la responsabilité sociale.
« Positive Impact n’est pas quelque chose que nous faisons accessoirement, cela fait partie de notre ADN, de notre identité. »
Quel est votre rôle personnel dans le dispositif Positive Impact ?
Comme vous pouvez l’imaginer, je m’implique beaucoup à titre personnel dans ce programme. Je veille à ce qu’il reste une priorité absolue et à ce qu’il soit visible et cohérent au quotidien. Mais avant tout, je crois en l’énergie collective. Ce qui me touche le plus, c’est de voir à quel point les équipes sont engagées. J’étais tellement heureux lorsque j’ai eu l’occasion, il y a quelques mois, de me rendre à Abidjan et de constater l’implication de toutes les équipes sur place. Et lorsque j’étais au Brésil, Marco Barbaceli m’a fait part de sa fierté de travailler pour Digital Virgo, qu’il considère comme une entreprise unique. Bien sûr, cela me donne beaucoup d’énergie, et mon rôle est de restituer cette énergie pour soutenir et structurer.
Avez-vous autre chose à dire au sujet du programme Positive Impact ?
Il reste encore beaucoup à faire. Bien sûr, c’est la priorité. Mais nous avançons pas à pas, avec humilité. Mais c’est vivant. Ça évolue. Ça grandit. Chaque année, nous améliorons les choses. Et petit à petit, ce programme prend de l’ampleur, et c’est formidable à voir.
Je suis vraiment fier que Digital Virgo s’engage dans ces causes importantes. Et je crois sincèrement que mettre l’accent sur l’éducation en 2025 est l’une des voies les plus efficaces que nous puissions emprunter ensemble. Car il ne s’agit pas seulement de connaissances ; l’éducation, ce sont aussi les compétences relationnelles, la curiosité, la capacité de réflexion, l’adaptabilité, la tolérance, les aptitudes. Et tout cela, bien sûr, a un impact considérable sur l’avenir de la société et sur Digital Virgo elle-même.
« La performance économique et la responsabilité sociale peuvent aller de pair. »
Avez-vous autre chose à dire aux équipes derrière le programme Positive Impact ?
Tout d’abord, je tiens à te remercier, Amaranta, pour cette initiative et pour la visibilité que tu donnes à ce programme qui, comme je l’ai mentionné, est très important pour moi et pour l’entreprise.
Je voudrais bien sûr profiter de cette occasion pour remercier chaleureusement et tout particulièrement Marion Hyvernat, qui dirige ce programme et qui s’investit quotidiennement sans relâche pour le faire évoluer.
Et bien sûr, un grand merci à toutes les équipes sur le terrain partout dans le monde qui s’impliquent et participent quotidiennement à faire grandir ce programme, pas à pas, mais dans une perspective à long terme.